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Rachad 16 septembre 2017

 

L’histoire met en scène Étincelle, une jeune fille à bord d’un avion qui relie deux îles de son pays, les Comores. Prise dans les turbulences du vol et tenaillée entre deux liaisons amoureuses, la jeune fille va se remémorer certaines des histoires que lui contaient sa mère, à commencer par celle, somptueuse et tragique, qui devait un jour lui donner naissance.

 

Après la Mention spéciale du prix Wepler et le Prix Senghor du roman francophone pour son premier roman, le deuxième roman d’Ali Zamir intitulé “Mon étincelle” est sorti, aujourd’hui, aux éditions Le Tripode.

Selon plusieurs témoignages, notamment Livres Hebdo, ce second roman confirme le goût de l’écrivain comorien pour la narration imagée par un langage “pimentée”. Pour sa part, Alain Mabanckou qualifie ce livre d’une des histoires d’amour les plus extraordinaires.

 

Il peint une poésie de l’amour, celle des tourments, des mensonges, des passions. Avec Anguille sous roche nous plongions au plus profond d’une femme fabuleuse et tragique, ici nous chavirons dans un conte ! Et il ose tout cette terrible épopée amoureuse,

 

a commenté Anna Tiedje de la librairie Delamain.  Selon Le Tripode, l’histoire met en scène Étincelle, une jeune fille à bord d’un avion qui relie deux îles de son pays, les Comores. Prise dans les turbulences du vol et tenaillée entre deux liaisons amoureuses, la jeune fille va se remémorer certaines des histoires que lui contaient sa mère, à commencer par celle, somptueuse et tragique, qui devait un jour lui donner naissance.

En 2016, Ali Zamir avait surgi sur la scène littéraire française avec Anguille sous roche, un premier roman quasi parfait. Le trentenaire comorien revient cette année avec ce deuxième roman qui confirme les espoirs et les promesses qu’avaient suscité le premier.

 


Lire ausssi : Littérature : “Anguille sous roche” va paraître en allemand, mais pas tout…


Pour la rentrée littéraire, “Mon étincelle”, est sélectionnée parmi “les quinze incontournables du monde noir”, dont “Zabor ou les psaumes” de l’écrivain algérien, Kamel Daoud, “En compagnie des hommes” de l’Ivoirienne Véronique Tadjo, “L’insoumise de la porte de Flandre” de l’Egyptien Fouad Laroui, “L’île au poisson venimeux” du Mauricien Barlen Pyamootoo, entre autres.

Mon Étincelle est finaliste du Prix Méditerranée des lycéens 2017/2018.  Dans une déclaration, l’écrivain et enseignant de français, Abdoulfatah Mohamed, souhaite que des dispositions soient prises par le ministère de la Culture pour permettre aux lecteurs comoriens qui aimeraient lire les auteurs comoriens de trouver plus facilement leurs livres dans les libraires.

“Je ne comprends pas que, malgré le succès qu’il a enregistré on n’arrive pas à trouver le premier roman d’Ali Zamir dans les librairies comoriennes”.
En attendant, bonne lecture, malgré tout…

Alwatwan